L'adhésion, un enjeu vital pour l'ACI
Les participants au conseil national d’Issy-les-Moulineaux ont travaillé sur les voies et moyens de renforcer l’adhésion des membres d’équipe : reprise de contact avec les équipes qui restent en autarcie après l’épidémie de Covid-19 ; reprise des listes d’adhérents d’il y a quatre ou cinq ans ; organisation d’un temps de fin d’année pour se dire ce que l’ACI nous a permis de vivre cette année. Le principal ressort de l’adhésion repose sur ce que le mouvement apporte à chacun.
L’adhésion n’est pas un don (à l’instar d’un versement à la Fondation de France ou à une ONG) mais la contribution de chacun au fonctionnement du mouvement (comme dans un club sportif ou une école de musique). Adhérer, c’est faire mouvement et permettre à l’équipe locale à laquelle nous participons, de se nourrir d’une dynamique territoriale et nationale durable.
L’ACI, ce sont des membres qui s’engagent pour faire vivre les territoires ; ce sont des membres qui se retrouvent très régulièrement pour animer les commissions nationales pour bâtir l’enquête d’année et le parcours de méditations ; ce sont des membres qui représentent le mouvement auprès de l’Episcopat, du Conseil de l’Europe, du MIAMSI ou du CCFD, à partir des comptes-rendus ; ce sont des salariés qui mettent en œuvre les projets, gèrent le quotidien et répondent à vos demandes.
Tout cela a un coût. Vous trouverez ci-dessus une répartition des dépenses. Pour les financer, les cotisations et les abonnements représentent plus de 70% de nos ressources.
Aujourd’hui, le déficit financier du mouvement correspond exactement au nombre d’adhérents perdus durant la crise sanitaire : il s’agit de les retrouver pour assurer l’avenir de l’ACI !
Prenons du temps avant l’été pour inciter les adhérents à payer leur cotisation dès le mois de juillet et convaincre les membres d’équipe non adhérents de financer le mouvement dont ils profitent. Et n’oublions pas que la déduction fiscale de 66% réduit la cotisation à un tiers du montant affiché.